mes créations littéraires, mes peintures, mes photos et tout ce que j'aime dans la vie
L’île
De la mer on pourrait croire un sein
Que lèchent les vagues d’un air coquin
Parfumé d’une sensuelle brise d’embruns
Balayé par les baisers d’un soleil carmin
De la terre un tout petit jardin
Perdu au milieu d’une mer satin
Sur son téton se dressent les pins
Pour la nature une mère enfin
Pour l’avenir de l’homme un écrin
Que berce doucement le vent malin
En y déposant sa caresse de satin
Un amour qui n’aura jamais de fin
Pour l’homme un refuge sain
Pour l’avenir un présage serein
L’exemple du souffle divin
D’une mère qui offre son sein
Fransua